Le SARC : définition d'un système de self-défense
Techniques du SARC
Percussions, projections, luxations, points de pression, etc. pour les techniques « propres ».
Les différences fondamentales avec les systèmes classiques d’arts martiaux ou de sports de combat sont les suivants :
  • Repères spaciaux : pas de délimitations, cordes, tatamis; sols glissants, en relief, etc,
  • Repères temporels : pas de gongs pour signaler la fin du combat, qui peut reprendre à tout instant,
  • Pas de règles, hormis, en ce qui nous concerne, les lois sur la légitime défense (pour faire simple, articles 122-5 et 122-6 du Code Pénal),
  • Finalité : je ne gagne pas, je ne perds pas, je survis (cela peut être une image ou la réalité),
  • Je ne suis pas en duel : je suis seul, contre un nombre potentiellement variable avec le temps.

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Pédagogie du SARC
Le SARC travaille beaucoup sur le mouvement instinctif et le sens de l’improvisation. L’élève doit tout le temps sortir de son conformisme.
Le travail du premier geste est essentiel. Nous considérons qu’il n’y a pas de blocages, mais directement des contre-attaques.
Ce premier mouvement est la base commune de tous les enchaînements et finalités qui sont différentes selon le public visé : on accentuera le travail sur le dégagement et la fuite pour les civils, sur le contrôle de la personne pour les représentants de l’ordre.
Le SARC est, à contrario des styles figés se pratiquant à travers une seule et unique forme, un système évolutif se calant d'abord sur l'individu, ses capacités, ses besoins, ses envies.
Il est, par la diversité de ses techniques - percussions, projections, luxations, utilisation des points de pression (Kyusho/Dim Mak)- accessible à tous et à toutes, à travers un projet personnalisé.
C'est le SARC qui s'adaptera à chacun, et non vous qui devrez vous adapter à un moule prédéterminé, qui ne vous correspondra jamais à 100%.
Nous reprenons à notre compte le credo de l'Education Nationale: "Tous capables".
 
L'importance du matériel.
Comme tous les systèmes basés sur la réalité, le SARC donne une part importante au matériel d'entraînement, qui doit être le plus possible ressemblant au matériel réel, et à l'environnement : ce qui fait la différence entre un entraînement sportif et/ou de loisirs et un entraînement "reality based" est l'adaptation aux terrains : pas de stabilité spatiale (introduction d'objet génant sur la surface de travail), pas de stabilité temporelle, travail du regard périphérique, mises en situations réalistes avec une mise en oeuvre de moyens importants.
 
Un des maîtres-mots de la pratique est la réactivité sous stress.
Mise en situation extrême
mise en situation extrême
Le SARC a été conçu comme un collège d'experts venant de disciplines martiales et/ou de sports de combat, de techniciens de la sécurité publique ou privée, de personnels militaires, hospitaliers. .. Tous font part de leurs expériences et de leur approche du danger.
Le SARC se veut un système de self-défense citoyen et républicain, qui fait travailler ses stagiaires dans le strict respect de la loi française. Il est par cela totalement intégré dans la société française.
Le fondateur du SARC est Christophe Foray, diplômé d'Etat en arts martiaux et sports de combat, en France (Krav-Maga, Karate, Kali Arnis Eskrima, Sambo, Pancrace, Taï-Jitsu, Kick-Boxing, K1, Full Contact), au Japon (Kempo, Ju-Jitsu, Kobudo) et aux États-Unis (RyuKyu Kempo).
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Les connaisseurs apprécieront:
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